LE SANG PRESQUE ET UN ANNEAU
Tout ce qui m’a touché, tout ce qui a été déposé en moi.
Dans mes jours
Dans mes nuits et mes aurores
(fuite, fuite à la fenêtre du sexe. fuite du blanc des étables
croix
qui fulmine
sous les paupières
sous les lèvres)
L’horreur dans le déplacement. reste-t-il des langues (qui ont laissées le wagon rouler)
En tant qu’armée la nuit vient, sournoise, et se dépose
au fond de mon cul