Réfléchi sur le langage
Il n’y a rien à voir derrière le langage. Il est partout et nul part. Il est le texte et non ce seul moyen d’atteindre le miel d’un poème, la logorrhée d’un monologue ou la discursivité d’un récit. Il est structure de tout. Et c’est seulement au prix de sa mise à mort qu’il se donne, en retour de refoulé comme conscience du Tout.
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