Cet os
cet os
ce vibrant dans ma chair.
loin d’elle j’ai sauté de moi jusqu’à l’aube.
(y aurait-il des formes ?
non qu’elles soient niées et pourtant
arbre et arbre).
ta lecture avec minutie mais le réel
non qu’il soit nié et jamais
que seul ce cœur
cette imagination
en collages
et j’imagine que tu aimes pourtant
cet os
ce collé dans ma chair.
se retire mais est-il perpétuel
une fois le poème
une fois l’élégance c’est
décrire
mais encore ?
mais rien un faible vent.