Pour Sarah
les matins concentrés ô ça pue la
solitude, réservé à l’alliance pub
licitaire. Là elle dit : je me lance
tout contre et contre toi. À en
crever les muqueuses, oh
petites ailes de poulet
ménestrel, les papin tueuses
dans tes ongles couleurs nois
ettes, ta chatte refroidie, partout
il y a pas d’sexe et pourtant, miroitant
le test de dépi
stage à Havas ; ne sait plus la casquette
tordante rigolante marrante tot
alement fun, les matins réservés
à la police de ton corps, à lou
voyer
parmi parchemin, rut en Ruth ;
de papier à bible, longueur estivale
le corps nu, insatiable dépourvu
de semaille, le coeur forgé, les os
restés près du sol. Par
terre il y a de la cendre et une
lévitation
mais pourquoi contempler la
pollution : c’est beau mais c’est
con ; partout tu nais d’un inquiétude
crue, creusée, criée dans la
paperasse à bulle liquide
une journée
devenue une nuit
partout le temps gluant ép
itaphe, Hafiz est rentré à la Mosquée
de ton ventre révolu, rebondit
Jeudi, nous verrons l’heure, elle
n’a plus de poésie, elle n’
a plus de restes. Elle s’égosille
dans le sang et les larmes
ma mère a failli crever
sarache, Sarah fait moi boire
bu, bu
ton sexe
il fallait se rendre à l’outrance
jouir d’une compagnie improbable
l’un, deux, les trois mousquetaires sur
ta - table, on en a vu un autre
enterrer ses enfants sous
son casque rouillé, puisse
la mort à gaza, koursk, Cyrano
te parler - parle parle pas, par le
moi
oh oui tu es sous la robe
c’est beau et c’est dommage
le ciel flashies du crépuscule
est plein de particules.