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AU BOIS ET AU LAIT, BUS SUR LA FALAISE EST PAREILLEMENT ASSISE SUR SON OS

12 Janvier 2024

Te forcer sans
T’effacer 

Déguenillée dans l’éclaircie
de la plaine, à réduire,
réduisant tu disparais dans la vrille
et son pauvre voeu-coeur

Ne pas commencer pas Je
alors il travaille. A réduire. Il use
du bout de bois, du clou. Abuse
de l’appétit du clou. Abuse de l’obéissance 
Du bout de bois, l’écorce 
Gratuite et le bois s’attache au bois forage-foirage dans le coeur
Te forcer à réduire en bouillie 
mes nouilles dans mes entrailles

Manger : il dit manger et partage
D’oeuvre non, d’une commissure
D’amour. Oui.

Retiens le bois en toi.

Fais en une tombe à l’envers

Force est de constater :
non-plaire/non-plaine

mais falaise sur un os

force moi, tombe moi
de toutes faces, l’appétit 
l’appel de la forêt 

et te forcer à l’avalanche
cette éboulis : ton corps
comme ciel simplifié

Autour de la terre, d’un voyage
du feu de bois, 
A écorce gratuite, creuset
a perpet’

l’herbe, la falaise qui ne se sait pas
Par coeur et on s'en bat les cheveux

et les reins

sec sexe, ton

l’herbe : ce lait, bois-le
matin, lait de l’aube
bois le,
il se disperse en fumée
rattrape l’os qui s’effrite
Bois, bois, je te donne a me séduire
l’art de faire, de boire et de défaire 

la falaise lorsque j’appelle
le mot demandé
bois-le


Le macro-falaise est rongé lorsque
Je perds au jeu de ma langue pour friture
Céleste, jouer à jouir
Hué par sa pucelle et son alcool

Ton corps-pendentif-bois-falaise-os
Accroche mes yeux de porc
a son auge arrimée par la mort

Inquiétant quêteurs dehors.

On m'a dit de t'aimer, 

non en de rares occasions,

s'effriter jusqu'à brûler l'os.

Maintenant tais-toi et mange.

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