AU BOIS ET AU LAIT, BUS SUR LA FALAISE EST PAREILLEMENT ASSISE SUR SON OS
Te forcer sans
T’effacer
Déguenillée dans l’éclaircie
de la plaine, à réduire,
réduisant tu disparais dans la vrille
et son pauvre voeu-coeur
Ne pas commencer pas Je
alors il travaille. A réduire. Il use
du bout de bois, du clou. Abuse
de l’appétit du clou. Abuse de l’obéissance
Du bout de bois, l’écorce
Gratuite et le bois s’attache au bois forage-foirage dans le coeur
Te forcer à réduire en bouillie
mes nouilles dans mes entrailles
Manger : il dit manger et partage
D’oeuvre non, d’une commissure
D’amour. Oui.
Retiens le bois en toi.
Fais en une tombe à l’envers
Force est de constater :
non-plaire/non-plaine
mais falaise sur un os
force moi, tombe moi
de toutes faces, l’appétit
l’appel de la forêt
et te forcer à l’avalanche
cette éboulis : ton corps
comme ciel simplifié
Autour de la terre, d’un voyage
du feu de bois,
A écorce gratuite, creuset
a perpet’
l’herbe, la falaise qui ne se sait pas
Par coeur et on s'en bat les cheveux
et les reins
sec sexe, ton
l’herbe : ce lait, bois-le
matin, lait de l’aube
bois le,
il se disperse en fumée
rattrape l’os qui s’effrite
Bois, bois, je te donne a me séduire
l’art de faire, de boire et de défaire
la falaise lorsque j’appelle
le mot demandé
bois-le
Le macro-falaise est rongé lorsque
Je perds au jeu de ma langue pour friture
Céleste, jouer à jouir
Hué par sa pucelle et son alcool
Ton corps-pendentif-bois-falaise-os
Accroche mes yeux de porc
a son auge arrimée par la mort
Inquiétant quêteurs dehors.
On m'a dit de t'aimer,
non en de rares occasions,
s'effriter jusqu'à brûler l'os.
Maintenant tais-toi et mange.