Les mensonges de Dostoievski
Pour montrer que le Bien de Dieu ne se trouve pas dans les personnes auxquelles on aurait pu. Dostoïevski menace le livre de Alejandra, de se répandre en croûte molle sur son torse. Jument.
Dans la moelle d’une jument le mensonge, et son sabot fendue comme l’esquisse ouverte d’un sexe, elle-même recouvrant la ligne ouverte du mensonge
Partager cet article
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article