JoJo la fripouille
Là le feu brûle dans mes prières là où coule le don du vent L’image de l’image le feu Autour de moi la chambre
des mots je t’imagine en jaune doré Spectacle inconnu des mariés Ne va pas vers l’aube Attends qu’elle ait répondu à la déclaration de guerre aux poèmes muets Je t’aime comme j’aime l’image que sait l’amour lui-même.
retourne toi et souris moi nuit glaciale Emporte dans ton givre
les restes de cendres du feu de camp Emporte dans ton givre ma
prière au bord de l’âme qui bave de trop connaître Sache concentrer toute la puissance de tes doigts sur ma peau de où l’encre de la mer et
engendrés d’animaux aimantés Des glandes anales en levrette je te retirais ta peau au niveau courbe des hanches à moitié détruites
des noces sauvage avec ma soeur la vie Encore un tandem sans roues ni
pédales Encore la rue de ma vieillesse Je bois.
Mène le son de la vie dans mes veines Sang immonde A plu à ton désir sauvage de prédire la nuit
la
nuit
ne sait pas qu’il fait noir Marche rapidement puis lentement comme si tu suivais quelqu’un demander à un nain la taille de son sexe C’est moi et ton souvenir de toi lorsque nous faisons l’amour Recueille la rouille de mes os Et la mer inexpliquée par les étudiants
en mer Il y a trop à dire.
est ce qui monte le cheval le cheval est ce qu’il sait cheval comme preuve que nous aimons le même chant de la
connaissance du soir Le savon a glissé de mes mains je Il voulait je voulais elle voulait Je voulais pourquoi et ceci n’a pas marché Je vois
notre union comme le désaxement d’une tête qui pivote sur elle-même qui ne suit plus le Très-Haut non et oui et non il faut combiner les mathématiques de la rime Soit tu me hais Soit je te hais Soit je t’amour Soit attaquer le soleil cubique de Turner
Il faut être le prophète de sa blessure et l’incarner Tu résistes à être mon âme âme Où étais-tu lorsque délirant j’ai vu la blessure m’éteindre Surgissante regarde moi à même la chambre d’hôpital Je vois Je
perpétue une histoire dans laquelle tu coules comme le reflet de l’eau sur ton visage Auprès des lettres mortes envoyées parmi Condor et cités inutiles Garde
moi dans la fumée de ton souvenir de nos premiers mois Je survis très bien comme ça À vrai dire il n’y a pas de fumée il n’y a que des corps introduits dans le matériel bonheur d’une Musique
ignore ce que j’écris tu m’as Nouée à tes cervicales dans le but avoué que je les tiennent comme un soldat en Ukraine tient bon son poste dans la guerre trompeuse Dans pas la guerre Donc pas la guerre Si il y a guerre il n’y a pas de soldats il n’y a que des morts Et tes cervicales ont tenues j’ai pris les armes un matin de mars
Que des mains violacées comme l’ombre des mains qu’elles tapotent sur le clavier Vu et voir ou c’est sûr que ça troue l’énergumène poésie Il y a des chambres en fonte dans le coeur des oiseaux et ce qu’il chante c’est l’argent brûlé du désir À moi l’amour dans un sac plastique rendu par la mer.