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Je me lève vers le toit
D’autres se sucent les points noirs de l’oreiller
Je me lève vers le toit
Le café du nuage gris
L’antenne attrape les signes de l’URSS
Geste à peau
Je me vois mal conduire
J’ai des élans de condor
Des brûlures sur le cul il fait si chaud
Je m’envole de Dissay-sous-Courcillon
Les chaudrons sont pleins à craquer de cocaïne
Je signale au lecteur mon attrait pour la cocaïne mon bec
Fume une clope
Allie est là mais rien n’y fait
Je bouge sur la toile
Mes ailes d’or n’en finissent plus d’être de la pisse
Un morceau de sucre palme paille
Mark Twain on m’a dit que c’était bien
Je suis trou bémol remastérisé d’une chanson de La Femme
Sous terre je les connaissais
A l’air c’est du fooding street food frites McDo
Moitié remplie de sirènes moitié remplie de poulpes
Elle est ma sœur de chatté
Chatté moyen de servir l’expression littéral fume
Fume je reviens à la maison de la campagne de la Doriane
J’y retrouve mon bébé street food asian company
Je n’ai pas d’espace entre les étoiles pour prier
Je n’ai pas d’espace entre mes mains
Anoushka est la plus belle chose que
J’ai produite dans ma vie
Elle est tout ce qui résiste à la mort
Elle est ce que l’on appelle la vie
Des hordes de soldats se ruent en 1925 sur les paillettes
De madame paillettes
Marion Cotishit
Le rêve du jeune homme se formule ainsi : assassiné la bêtise de Behar
Le rêve est excausé
Les lois ne sont pas des lois elles sont le fond imaginé par les métaphores
Les limites de mon langage sont les limites de mon ombre