Anoushka
Anoushka je t’écris des trombes d’eau où je me tiens. J’espère que tu me reconnaitras, lorsque volcanique je ne serai plus. Que tu feras honneur à mon nom par l’écoute du grondement de mon cœur malade. J’ai à mourir comme tout un chacun, toi aussi ma petite … Mais s’il te plaît, je t’en conjure lorsque le dernier chant aura eu lieu, laves-toi comme si c’était le premier jour et promets-moi de m’embaumer du linceul blanc de mes poèmes.