réfléchi poétique
Ma confrontation avec la parole n’est pas de l’ordre de l’absurde mais plutôt de l’ordre d’une ondulation vertigineuse / confortante. Je suis un être tabou et c’est précisément pour ça que ma poésie est emprunte jusqu’à l’os par l’envie de se faire iconoclaste (pas pour la foire ou les filles ou encore les yeux des gens ce serait trop simple mais pour converser tranquillement avec le silence où se cache avec liberté ma parole et par voie de fait mon cerveau malade)