Je vomis le Printemps des Poètes
J’ai attendu le poète contemporain qui a ses entrées aux 104. Il n’est pas venu. Personne n’est venu. J’ai attendu mon ancien mentor Batalla qui dirige le CiPM, il n’a pas répondu à mon e-mail. J’ai attendu des likes et des visites sur mon blog.
Je suis allé près de ton oreille, je suis allé voir ce que tu pointais de ton doigt
Et j’ai dit. Je suis enlacé par deux bras, ce sont mes deux petits bras. J’ai un bonnet de psychanalyste comme cousait ma grandmère schizophrène aux nouveaux venus.
Tout est évident
Tout est passe
Tout est tour ou roc (ancien nom en échec)
Tout ploie dans l’instinction
Tout est moi
Tout est pulpe de grenade
Et je vomis le Printemps des Poètes