Quand l'on souffle sur la tête d'un nain
tout vient du sombre
autre côté
le mur le silence
qui cache et ne fédère
il a des questions à poser
il scrute la rue
des questions à poser
au moment du poème
il pose : le voilà
les yeux
voilà la réponse : il pose
voilà l’infini désir
le phénix bûché
un désir renaît
il va il fédère
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