Réfléchi - L'ABSENCE DU POÈME
Le départ de la pensée creusée c’est l’absence. Il y a toujours eu un absent, celui qui parle à l’absent c'est le prêtre. Produire du réel pour qu’advienne une chose qui doit être. C’est le futur qui compare les possibilités. C’est le créateur qui choisi. Je choisis pour vous. Je vous dis, fulminez à l’endroit du poème. Ne glacez rien, éprouvez toute la ressemblance du poème, car ce poème ne vous ai pas destiné, il est destiné à l’absence. L’absence qui se renouvellera dans des constellations infinies. Un battement de cil, est un coup de fer dans une étoile. L’absent parle par le collectif. Un coup de fer advient sur les mains de l’absent. L’absent, l’absent qui dirige les temps. Il n’y a pas eu d’événement. Il n’y a qu’eu le doute de l’événement. C’est l’absent qui parle l’événement parle l’absent complète le bol des vies (yeux, oreilles, mains, puis esprit).
L’événement est négatif, Mallarmé le savait. Le Poème est négatif. L’absent doute de l’événement d’un poème. Mais il a lieu et aura toujours lieu (si il est parole vraie droite non-scindée) et la liberté est absence de possibilités mais choix d’écrire le mot parole et parole parle dans le mot. Il existe la possibilité d’un rêve. Je rêve l’absent parle la parole en ces mots :
Quelque chose mute dans un cil
Une barre qui dévie un mouvement
Qui s’accorde dans
Deux mains-maisons moites
La mutation sclérose l’arbre
A laquelle la poire est
attachée